En 1981, un fameux reportage, sur une chaîne de télévision française et intitulé "Une République en uniforme" sema effrois et colère aux sein des instances dirigeantes de la République. Pourtant dans ce reportage, il n'y avait rien qui méritait une telle furie. Malgré tout, la population djiboutienne, à peine sortie de plus d'un siècle de colonialisme, fut chauffée à blanc par l'élite dirigeante de l'époque, avec des mots d'ordre tels que "le blanc veut nous récoloniser", "les colons et leurs suppôts locaux veulent détruire la Nation djiboutienne."
Et c'est sans surprise que toute la population s'est levée, comme un seul homme, pour exprimer sa colère et sa détermination pour sauvegarder sa RÉPUBLIQUE. Il faut noter qu'à la tête de cette armée populaire se trouvaient l'ensemble des artistes de GACAAN MACAAN.
Ce rappel de cette tranche de notre histoire, juste pour poser la question "OÙ EST PASSÉE CETTE RÉPUBLIQUE DE DJIBOUTI?", "QUI SÉQUESTRE NOTRE RÉPUBLIQUE DE DJIBOUTI?"
Et c'est sans surprise que toute la population s'est levée, comme un seul homme, pour exprimer sa colère et sa détermination pour sauvegarder sa RÉPUBLIQUE. Il faut noter qu'à la tête de cette armée populaire se trouvaient l'ensemble des artistes de GACAAN MACAAN.
Ce rappel de cette tranche de notre histoire, juste pour poser la question "OÙ EST PASSÉE CETTE RÉPUBLIQUE DE DJIBOUTI?", "QUI SÉQUESTRE NOTRE RÉPUBLIQUE DE DJIBOUTI?"
Il faut que la République se redresse et commence à marcher sur ses deux pieds: l'État et le peuple. Au Peuple de Djibouti doit désormais répondre le Djibouti-Institutions renouvelé et définitivement à son image.
Dès lors, nous pourrons, les uns et les autres dire avec Léopold Sédar Séngor:
Notre noblesse nouvelle est
Non de dominer notre peuple
Mais d'être son rythme et son cœur
Non de paître les terres, mais comme
Le grain de millet, de pourrir dans la terre
Non être la tête du pays, mais bien
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